Fluffy

Vague littéraire collégienne

Samedi 18 décembre 2010 à 18:00

Malade. Depuis une bonne semaine, angine et otite. J'aurais dû faire plus attention et me couvrir plus soigneusement en sortant de la douche? Mais, en plus, ça ne me donne pas l'envie d'écrire. A bientôt donc

Amayelle

Kim Mai 

Lundi 14 février 2011 à 22:00

http://fluffy.cowblog.fr/images/levielhommeetlariadunetristenuit.jpg    Matera. Une ville abandonée par les dieux, bien que quelques humains y vivaient encore. Elle ne figurait sur aucune carte, aucun repère géographique, et rares sont les personnes qui parviennent à la trouver par hasard.
Autrefois, cette ville était très peuplée, mais les habitants étaient dotés d'un pouvoir énorme et donc pouvaient fair leurs taches ménagères, qui se comptaient en grand nombre, un à peine une heure. A force, ils ne surent plus quoi faire de leur temps libre. Ils songèrent à quiter la ville mais ils savaient qu'ils se feraient rejeter de tout autres civilisations à cause de leurs grands pouvoirs, qu'ils appréciaient trop pour s'en séparés. Alors à l'aide de leurs pouvoirs et de leurs grandes connaissances en menuiserie ils construirent des poupées qui chantaient et dansaient pour eux. Cela les occupa tout au long de leurs vie et bien d'autres générations après eux. Mais des centaines d'années plus tard, les habitants de Matera en eurent assez de ces marionnettes et de leurs pouvoirs. Ils abandonèrent tout sur placent : les marionnettes, leur logement et les malades. Les malades moururent vite, les marionnettes sans spectateures se détraquèrent, une seule resta intacte.

     Cela fait 500 ans que Matera était abandonnée des dieux, et des humains. Bizarrement depuis que les humains l'avaient abandonner, plusieurs enfants s'y sont perdu. 5 d'entre eux (à cent ans pile d'intervalle)rencontrèrent une sorte de monstre dont on apercevait à peine les contours. On aurait dit un monstre terrifiant plein de poil dont les yeux ne refléter aucune lumière. Il avait une voix magnifique et très féminine (c'était une fille). Et à chaque fois elle leur demandait si il voulait qu'elle leur chante une chanson. Ils voulurent s'enfuir mais elle les rattrapa bien vite, et les tua à cause de son désespoir et de sa solitude.
     Peu de temps après le cinquième elle entendu des pleurs, et alla dans leur direction. Elle se mit en face de l'enfant et dit de sa douce voix  : "Veux-tu que je te chante une chanson?". Le garçon cessa peu à peu de pleurer et lui répondit de sa faible voix : " C'est vrai, tu veux bien ? ". Et elle se mit à chanter de vielles chansons que l'on chantait dan son village il y a de cela 700 ans. Elle chanta, chanta encore et encore : elle était heureuse.
    Puis le petit matin arrivé elle lui fit visiter la ville qu'elle connaissant tant et qu'elle ne pouvait quitter. Le petit garçon fatigué, elle le coucha dans un des vieux lits qu'elle avait restauré pour passer le temps. A son réveil elle lui raconta son histoire et celle de son village et n'oublia pas de mentionner qu'elle était une marionnette qui ne cherchait qu'un ami et rien d'autre. Le petit garçon ,qui avait était abandonné par ses parents à cause de son visage -on aurait dit le visage d'un grand brûlé, mais ce visage, il le possédait depuis sa naissance- décida d'être celui là, celui qui restera avec elle, son ami.
  Pendant les premiers jours, il la coiffa, la rhabilla avec les habits qui traînaient, et surtout, la fit chanter tout les jours des heures et des heures.  Elle était belle et on aurait dit que plus elle chantait plus elle devenait belle .Ils devinrent inséparables et sans jamais se l'avoué l'un à l'autre, ils étaient amoureux. Chaque jour était fait de bonheur de joie et surtout de chant. Peu importait qu'il soient seuls tout les deux, ils n'auraient jamais échangé leur place avec quelqu'un d'autre pour aucune raison que ce soit.

    70 ans passèrent, le petit garçon avait maintenant 80 ans, et la petite Lala, la marionnette, était toujours aussi belle mais l'état de son ami devenait de plus en plus inquiétant. Lala savait elle aussi que son corps artificielle faiblissait de jours en jours et en était heureuse car mourir avec son ami était son seul réconfort depuis qu'il allait si mal.
"Tu sais ma petite Lala cela fait 70 ans que nous ne nous quittons plus...
- Je sais et je ne veut pas que tu partes sans moi...Ses paroles furent étouffées par ses larmes.
- chut...Il se mit à murmurer avec un grand sourire aux lèvres.  Ne pleure plus. Tu sais depuis quelques années je me demande si tu accepterais que venue l'heure de ma mort je te détruise de mes propres mains.
- J'en serais très heureuse. Fit elle un sourire se dessinant sur ses lèvres."
Un sentiment indéfinissable venait de naître dans le coeur des deux amis, un mélange d'amour et de bonheur mais aussi de tristesse et de douleur. Ils savaient bien que leur heure allait arriver mais malgré la douleur ils étaient heureux tout les deux et ne gâcheraient pour rien au monde leurs derniers instants.
    Le dernier moment était arrivé. Il doutait, n'était pas sûr, mais la dernière chanson de Lala, leur chanson préférée le décida. Il était prêt, mais savourait, avec le peut de temps qu'il lui restait, Lala et sa dernière chanson. Elles étaient belles, l'une comme l'autre, la chanson était douce et l'endormait. Mais non, il ne fallait dormir au risque de perdre la vie. Lala elle avait perdu des couleurs mais cela ne l'empêchait pas d'être belle, elle était blonde avec des yeux bleus plus vrai que nature elle n'était pas très grande et bien que l'on commençait à voir ses fils (reliant la pierre de vie* à ses membres)on pouvait voir que les finitions étaient parfaites et n'avait presque pas était altérés.
La chanson de Lala prit fin, il ne fallait plus attendre. Elle le serra une dernière fois dans ces bras et retint ses larmes. Elle découvrit son dos et d'un coup sec il lui arracha sa pierre de vie, elle eu à peine le temps le dire un denier adieu, qu'ils moururent tout deux au même instant.

*Lala possède à la place de notre coeur une pierre qui lui confère des sentiments humains et des l'arme d'eau pure.
 
Salamandrel
Ce texte est un dérivé du tome 2 de D.Gray-man.
 
"Tu sais, il paraît que si deux personne qui s'aime sincèrement meurent au même instant il se réunissent dans le cosmos pour crée une super nova.
- A bon. Je ne savais pas. Tu crois que c'est ce qui c'est passé pour eux ?
- Certainement.
- J'espère, ce serait romantique.
-Tu sais ... je suis pas sur que sa marche pour les marionnettes.
-T'es pas sympa tu casses tout."
Deux lecteurs .
 
 
 
 

Jeudi 17 février 2011 à 9:35

Avec les filles, on a décider d'aller demain dans le nouveau centre aquatique qui vient d'ouvrir pas loin de chez nous. J'en ai entendu parler il n'y a pas longtemps, il parait que c'est vraiment très bien. En tous cas, ce n'est pas donné. Ce soir c'est Noël et on va au restaurant, c'est pour ça que j'écris plutôt que d'habitude. Tara va mieux mais Amayelle est tombé malade. Je veux aller au resto ! guérie vite Ama !
Il est ... 20h30, Cobalt vient de rentrer, elle est partie, toute chamboulée, vers 18h. On part bientôt alors comme je devais écrire je ne lui ai pas demandé ce qui c'était passé, mais quand elle est rentrée, elle ne faisait attention a rien, a cassé un verre, s'est cogné plusieurs fois... Je m'inquiète peut-être pour rien mais je trouve ça troublant. Tara me dit qu'elle doit être amoureuse, puisque elle réagit comme Kim. C'est sur qu'elle amoureuse kim, des fois avec Tara ou cobalt on va écouter derrière sa porte, et ces derniers temps un certain Michel revient le soir dans son sommeil. On lui a rien dit mais Tara lui fait des sous entendu. Faudrait peut-être lui dire qu'elle parle dans son sommeil. 
Bon, je divague mais va falloir partir. "Falloir", un bien curieux verbe...

Opal 
Salamandrel
 

Jeudi 17 février 2011 à 9:49

Je me réveille tôt ce matin, le jour se lève a peine. Je n'ai pas envie de me lever mais les chiens me lèchent le visage, le chat miaule. Je me recoucherai après m'être occupée des animaux. Je me lève donc difficilement, donne à manger aux chiens, chat et lapin. Le soleil prend son temps, je prend ma lapine dans les bras. Je sens sa petite langue dans mon cou, les chiennes me tirent le pantalon. Je repose ma lapine, attache les chiennes. Le orange habituel qu'a normalement le ciel tourne bizarrement au rouge. Arrivée dehors je vois mieux ce rouge orangé. Il me fait penser a la couleur de la couverture du livre que je lisais hier soir. "Comment on meurt" d'Emille ZOLA. Je l'aime bien. Je pensais avoir lu tous les ZOLA quand j'entendis parler de celui-là à la radio. 
Il fait frais dehors. Les chiennes sont toutes contentes. Finalement je vais prendre mon temps, et les faire gambader un peu. Le trottoir n'est pas grand, la route toujours pleine de voitures. Sauf maintenant. Le orange est redevenu normal avant de devenir rose. Je marche sur la route que je prenais pour aller en primaire. Le matin quand je partais il n'y avait pas beaucoup plus de voitures. Une de temps en temps. Je marchais environ 800 mètres à l'aller et 800 au retour. Quand je rentrais, il y avait beaucoup plus de monde sur la route. Toutes ces voitures faisaient un brouhaha que j'aimais autant que le silence du matin. J'étais dans une des dernières écoles à travailler le Samedi matin. Le matin c'était le même silence sous cette même faible luminosité. Mais quand je rentrais vers midi c'était magique. Il n'y avait jamais personne sur la route, même sous un beau soleil. Je n'était pas pressée, prenais mon temps, et j'avais l'impression que la ville m'appartenait et je ressentais une grande joie que je ne comprends plus maintenant. Le silence m'apaise, c'est vrai, mais ce silence ne traduit que ma solitude dans ces rues vides. La journée me convient mieux. Je vois des gens téléphoner à des amies. 
Oh! Mais me voilà déjà à la maison. J'ai tellement pensé que je ne me suis même pas rendu compte que je venais de faire 1km6 en pantoufle. Je rentre. Je détache les chiennes et vais me coucher. Le ciel est presque bleu, pas tout à fait. Un léger voile rose flottait encore. Finalement, le ciel en aura vu de toutes les couleurs aujourd'hui. 

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