Samedi 18 décembre 2010 à 17:15
Cette fois je suis sortie en prétextent que je voulais prendre l'aire. Elle n'ont rien dit, Kim mai et Amayelle était plongées dans leurs travaux, Opal faisait la folle avec la vielle... De toute façon aujourd'hui je ne suis pas sorti que pour écrire, j'ai vraiment besoin de prendre l'aire.
Aujourd'hui je suis retourner dans se café ou j'avais vu ce si beau jeune homme aux yeux bleu. au début comme je ne l'avait pas bien regardé j'avais peur de ne pas le revoir, mais en réfléchissant un peu je me suis demandé pour quoi. Pour quoi suis-je venue, il n'y a que très peu de chance qu'il soit là cette fois. Après un tourbillon de pansé de se genre je me décidait, toute déprimée, à sortir de se foutu café bien trop cher. Je m'arrêtait, pensive, je sentis une main dans mon dos. Pleine d'espoir je me retourne. Se n'était pas lui, mais une femme avec sa fille, qui tentaient de sortir de ce maudit café. Je me poussait en m'excusant. Finalement je m'assis sur un banc non loin de moi. Sans m'en rendre compte je me suis endormi.
A mon réveille je ne me trouvait plus sur le même banc. J'était dans une rue ou très peu de monde passait, mais je me rendis vite compte que la rue marchande était juste à l'angle, je ne risquais donc rien. Je me décidait à lever la tête, et je me rendait compte que j'était sur les genoux de quelqu'un. Je regarde cette personne.
Il était beau. Il était beau. Mais il était... BEAU. Il avait les yeux bleu, les cheveux blond, de longue main, et des lèvres magnifiques. C'était lui il me regardait. Je me mis à rougir. Il ne trouva rien à dire à par : " Bonjour". Sa voix était merveilleuse. J'était en extase devant cette inconnu quand je me mis, a ma grande surprise, à lui demandait :
" Qui êtes vous ?
-Tanguy
-Comme le héros de la BD Tanguy & Laverdure
- ... Tanguy YUGNAT
- Je ne vous croie pas, Yugnat est l'inverse de tanguy.
- Et qu'est-ce donc encore?
-Un photographe.
-Et puis...
-Je ne sais pas moi! Et puis qu'est-ce que je fais là moi."
Je partie sans même attendre la réponse. Au bout de cent mètres, je sentit sa main chaude agripper la mienne. Je m'arrête.
"Et vous qui êtes vous?
-Cela vous regarde t'il ?
-Si vous me le dite je vous dirait p..."
Je reconnue au loin la voix de Opal qui m'appelait. Il reprit en chuchotant : " devant le café demain 17h". Il l'achat ma main, et après quelques secondes d'hésitation je partie dans la direction de Opal, me forçant à sourire.
Je repris vite mon vrai sourire. Opal avait le pouvoir de me faire sourire à tout moment. Le reste de l'après-midi je fis les magasins avec Opal. Nous sommes rentrés assez tard et la vielle nous sermonna. Nous étions les plus jeunes des cinq mais nous ne gênions jamais pour leur dire ce que nous pensions.
Enfin j'en suis là, entrain d'écrire sur se petit journal.
Cobalt
Salamandrel