Fluffy
Vague littéraire collégienne
Dimanche 14 novembre 2010 à 15:11
Et alors, n'a t'on pas le droit d'être comme on l'entend? D'aimer ce qu'on aime, de détester ce qu'on déteste. Ou doit on aimer ce qu'on déteste, ce qu'on ne connait pas, et détesté ce qu'on aime pour appartenir à la société?
Doit-on laisser ceux qui pleurent, et rigoler avec ceux qui ne parlent pas? Ou bien doit on consoler ceux qui pleurent, et parler avec ceux qui ne parlent pas? Doit-on se mentir à un tel point pour appartenir à la société?
" Tu fais trop gamine, comme ça!"
" Nan, ne fait pas ça, tout le monde va se foutre de toi!"
" Oui, tu veux, mais tu n'es pas assez belle pour rester avec nous!"
Pourquoi nous demander de nous cacher lorsqu'on pourrait nous aimer au naturel plus qu'au "synthétique"?
Mais pourquoi se cacher? Pourquoi ne pas s'assumer? Pourquoi ne pas nous accepter comme on est?
La liberté, elle commencera là! Là où tout le monde verra qu'il a honte de sortir habillé en lui. Où une femme ne sera plus comme un mannequin. Où un homme ne sera plus un macho juste pour dire que c'est un homme, comme tous font.
La phrase qui me mets, le plus hors de moi - vu que je n'entends que très rarement, voire jamais, l'autre - est qu'on fait trop gamine. Si on ne veut pas grandir, c'est notre choix. C'est un mode de vie. Mais d'un autre coté, on ne restera jamais candide, on ne restera jamais innocent, on ne restera jamais vraiment enfant. Les réactions qu'on aura quand il faudra régler les ennuis ne seront jamais les mêmes, changeront toujours, seront toujours plus responsables qu'un an plus tôt, que la dernière fois. La maturité, elle grandit dans son coin, indépendamment de nous. Et puis, finalement, on se rend compte qu'on sera bien plus heureuse si on n'écoute pas ce que peuvent dire les autres de nous.
Et alors pour la première fois, on revêt notre peau, notre tête et on s'affiche aux autres avec ça. Et là, on est heureux.
Continuons de l'être, oublions l'amertume qu'il nous offre, et prenons le bonheur.
Doit-on laisser ceux qui pleurent, et rigoler avec ceux qui ne parlent pas? Ou bien doit on consoler ceux qui pleurent, et parler avec ceux qui ne parlent pas? Doit-on se mentir à un tel point pour appartenir à la société?
" Tu fais trop gamine, comme ça!"
" Nan, ne fait pas ça, tout le monde va se foutre de toi!"
" Oui, tu veux, mais tu n'es pas assez belle pour rester avec nous!"
Pourquoi nous demander de nous cacher lorsqu'on pourrait nous aimer au naturel plus qu'au "synthétique"?
Mais pourquoi se cacher? Pourquoi ne pas s'assumer? Pourquoi ne pas nous accepter comme on est?
La liberté, elle commencera là! Là où tout le monde verra qu'il a honte de sortir habillé en lui. Où une femme ne sera plus comme un mannequin. Où un homme ne sera plus un macho juste pour dire que c'est un homme, comme tous font.
La phrase qui me mets, le plus hors de moi - vu que je n'entends que très rarement, voire jamais, l'autre - est qu'on fait trop gamine. Si on ne veut pas grandir, c'est notre choix. C'est un mode de vie. Mais d'un autre coté, on ne restera jamais candide, on ne restera jamais innocent, on ne restera jamais vraiment enfant. Les réactions qu'on aura quand il faudra régler les ennuis ne seront jamais les mêmes, changeront toujours, seront toujours plus responsables qu'un an plus tôt, que la dernière fois. La maturité, elle grandit dans son coin, indépendamment de nous. Et puis, finalement, on se rend compte qu'on sera bien plus heureuse si on n'écoute pas ce que peuvent dire les autres de nous.
Et alors pour la première fois, on revêt notre peau, notre tête et on s'affiche aux autres avec ça. Et là, on est heureux.
Continuons de l'être, oublions l'amertume qu'il nous offre, et prenons le bonheur.
Dimanche 14 novembre 2010 à 15:12
Un jour, une jeune fille du nom de Amitié se vit dans un miroir. C'était une très jolie jeune fille fine et svelte avec des yeux bleu et des cheveux blonds. Malgré tout, elle n'était jamais heureuse quand elle se regardait et se demandai toujours pourquoi.
Un jour, devant ce même miroir, Amitié vit une jeune fille semblable à elle en tout point. Mis à part un détail, UN seul: ses yeux étaient plus foncés, dénué de tous sentiment joyeux. Au contraire, ils étaient tristes, mélancoliques.
Amitié demanda alors à cette jeune fille:
- Bonjour toi! Qui es-tu?
Devant cette question, pas de réponse. La jeune fille en face semblait muette. Elle n'avait même pas essayer d'ouvrir la bouche. Seul ses yeux avaient bougés un peu, indiquant une petite gêne. Récidive de Amitié.
- Alors, qui es tu?
De nouveau pas de réponse. A ce moment là, un petit mouvement de tête. Finalement, les lèvres bougèrent un peu mais aucun son ne sorti.
- Mademoiselle!!!
- Je... n'aie pas de nom... je suis... une moitié... contraire
- Hein? Et pourquoi es tu là alors?
- Pour faire couler et supporter les larmes que tu fais couler en toute innocence et en tout inconscience.
- Et que sont des larmes comaprées au bonheur?
- Je te l'accorde, peut-être simplment des gouttes d'eau. Que des perles d'eau. Mais des perles qui brisent des coeurs, qui incommodent certains. Maintenant, si tu veux t'obstiner, permet moi juste de me déverser sur toi
Un jour, devant ce même miroir, Amitié vit une jeune fille semblable à elle en tout point. Mis à part un détail, UN seul: ses yeux étaient plus foncés, dénué de tous sentiment joyeux. Au contraire, ils étaient tristes, mélancoliques.
Amitié demanda alors à cette jeune fille:
- Bonjour toi! Qui es-tu?
Devant cette question, pas de réponse. La jeune fille en face semblait muette. Elle n'avait même pas essayer d'ouvrir la bouche. Seul ses yeux avaient bougés un peu, indiquant une petite gêne. Récidive de Amitié.
- Alors, qui es tu?
De nouveau pas de réponse. A ce moment là, un petit mouvement de tête. Finalement, les lèvres bougèrent un peu mais aucun son ne sorti.
- Mademoiselle!!!
- Je... n'aie pas de nom... je suis... une moitié... contraire
- Hein? Et pourquoi es tu là alors?
- Pour faire couler et supporter les larmes que tu fais couler en toute innocence et en tout inconscience.
- Et que sont des larmes comaprées au bonheur?
- Je te l'accorde, peut-être simplment des gouttes d'eau. Que des perles d'eau. Mais des perles qui brisent des coeurs, qui incommodent certains. Maintenant, si tu veux t'obstiner, permet moi juste de me déverser sur toi
Dimanche 14 novembre 2010 à 15:12
Tu regardes, de haut de ton balcon, les jeunes enfants à qui on permet encore de jouer, à qui on impose pas de décisions. Tu rêves de revenir à cet âge là, où tout était facile et joyeux. Et tu rêves de retrouver ta candeur et ton innocence, maintenant perdue, qui t'offre ta véritable liberté. Sans avoir peur de penser. Sans avoir peur d'agir. Parce que tu ne connais pas, tu ne sais pas que les autres peuvent se moquer de toi. Et alors tes pas, une fois dehors, ou tes pensées, une fois allongée, te conduisent vers la mer, cette immensité bleue qui ne semble sans limites. Et alors tu ne fais que contempler, tu te laisses bercer par la mélodie que t'offrent, en duo, les vagues et les oiseaux. Et alors tu sens une fine et fraîche brise effleurant ton visage, faisant doucement voleter tes cheveux. Et alors tu t'assoies au bord de l'eau et t'endors petit à petit. Le soir, tu te réveilles, un réveil heureux. Car l'effet relaxant des vagues continue. Et les oiseaux, comme pour faire honneur à ton demi sommeil, se taisent petit à petit, réduisant le bruit de leur mélodie pour que ça ne devienne qu'un chant lointain.
Lundi 22 novembre 2010 à 20:22
J'écris cette première page parce que je suis obligée mais sinon je commencerai directement le journal. Enfin...
Nous sommes cinq amies qui habitons dans un château qui est à nos cinq noms. Hier soir on a fait un pari, on doit tenir un journal tous les jours sans que les autres nous voient écrire dedans au risque de se faire disqualifier. Mais si jamais on oublie ou on est dans l'incapacité de remplir la page du jour on est disqualifié aussi.
Nous sommes cinq amies qui habitons dans un château qui est à nos cinq noms. Hier soir on a fait un pari, on doit tenir un journal tous les jours sans que les autres nous voient écrire dedans au risque de se faire disqualifier. Mais si jamais on oublie ou on est dans l'incapacité de remplir la page du jour on est disqualifié aussi.
Personnellement je sens que je ne vais pas tenir longtemps mais sa vaut toujours le coup d'essayer. Enfin, je vais me motiver pour pas payer les frais de la gagnante. Je suis pas trop pour la recompense mais le pire c'est... c'est moi qui ait lancé l'idée du parie sur le journale ... Bon, je veux pas payer, je veux pas payer, j'aime mes sous, j'aime mes sous...
Opal
Salamandrel
Lundi 22 novembre 2010 à 20:22
Si j'écrie ce journal c'est que j'ai fait un pari avec des copines : TOUS les jours, sans exception, nous devons tenir notre journal et y raconter se que l'on veut. Nous habitons un château du XV siècle qui est à nos cinq noms (faut pas se disputer trop sévèrement...) ce qui nous permet de vérifier tout les matins les écrits de la veille. Le pari tiendra jusqu'à se qu'il ne reste qu'une seul d'entre nous à avoir un journal remplie sans manquer un seul jour. Au moindre oublie d'une journée on est disqualifié, mais surtout les autres ne doivent pas savoir à quel moment de la journée nous avons écrit. Si l'une d'entre nous est vu entrain d'écrire on est disqualifié aussi. A la fin du concours un voyage au japon est organisé et la gagnante se fera offrir par les quatre autre le billet les hôtels et les restaurants entre copines.
C'est pas très dur mais faut être tenace. Je tiens pas forcément à gagner à cause de la récompense (après je sens que j'aurais plus jamais de cadeaux T T), mais plutôt pour leur prouver que je peux réussir quelque chose à long terme.
Personnellement je pense que je vais le faire au milieu de la nuits. De toute façon la maison est tellement grande que je trouverais bien un endroit vide la nuit (après les confidences collectives du soir bien sur).
Cobalt.
C'est pas très dur mais faut être tenace. Je tiens pas forcément à gagner à cause de la récompense (après je sens que j'aurais plus jamais de cadeaux T T), mais plutôt pour leur prouver que je peux réussir quelque chose à long terme.
Personnellement je pense que je vais le faire au milieu de la nuits. De toute façon la maison est tellement grande que je trouverais bien un endroit vide la nuit (après les confidences collectives du soir bien sur).
Cobalt.
Salamandrel
Malheureusement je n'écrirais pas tout le soir. Mais les cinq copines SI !
Malheureusement je n'écrirais pas tout le soir. Mais les cinq copines SI !